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mardi 12 janvier 2016

refus de vaccination, le mega plan à la comm de la ministre.

 

Les pénuries qui frappent certains vaccins depuis plus d’un an et les soupçons qui pèsent sur certaines substances présentes dans les vaccins entretiennent la défiance d’une partie de la population

Des parents viennent de se faire condamner pour avoir refusé de vacciner leur enfant à un vaccin obligatoire (mais en même temps pas totalement obligatoire, et peut être dangereux...).


Compliqué ?


Selon l'HAS : « Les données scientifiques disponibles à ce jour ne permettent pas de remettre en cause la sécurité des vaccins contenant de l’aluminium, au regard de leur balance bénéfices/risques ».

Donc, pour traduire ça en langage normal : "nous avons raison de nous méfier des vaccins avec adjuvants, mais comme il n'y a pas assez de malades, on maintient leur caractère obligatoire.....".

Machiavélique ? Pour mémoire, 46% des médecins généralistes estiment ne pas être assez informés sur les vaccins*...
*chiffres du ministère.
 
Le père qui refusait de vacciner son enfant a fait part à l’AFP de son étonnement après cette condamnation car « l’indisponibilité des seuls vaccins obligatoires est prouvée ». « On nous condamne pour quelque chose d’irréalisable », fustige-t-il.
Le vaccin contre les maladies DTP uniquement, qui ne contient pas les autres valences, notamment la coqueluche, n’est plus disponible sur le marché depuis 2008 !



Les ruptures de stocks qui touchent plusieurs vaccins depuis plus d’un an brouillent le message du gouvernement et sèment le doute chez certains parents. Elles concernent principalement les vaccins tétravalents qui sont utilisés en rappel contre la poliomyélite, le tétanos et la diphtérie – obligatoires – mais aussi contre la coqueluche. Les deux produits commercialisés, Infanrix Tetra et Tetravac, ne sont distribués qu’au compte-goutte et « le retour à la normale n’est pas prévu avant la fin de l’année 2016 », indique l’ANSM. Actuellement, pour la vaccination des nourrissons, le vaccin recommandé par les autorités est le vaccin hexavalent (qui protège en plus contre l’hépatite B), qui est distribué normalement. Les familles qui ne souhaitent pas protéger leur bébé contre cette maladie ont en revanche plus de mal à trouver un vaccin pentavalent.

De plus, utilisés pour augmenter la réponse vaccinale, certains adjuvants sont accusés de causer des maladies auto-immunes. Le professeur Romain Gherardi (hôpital Henri-Mondor, AP-HP) fait ainsi le lien entre la myofasciite à macrophages ou MFM – une pathologie associant douleurs musculaires et fatigue, qu’il a décrite en 1998 – l’hydroxyde d’aluminium.


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