De la musique
pour ne plus penser à la douleur pendant un instant. Depuis deux ans, les
patients de l’unité de soins palliatifs du CHICAS de Gap reçoivent chaque
semaine la visite d’une chanteuse.
Accompagnée de sa harpe, de
ses flûtes et de ses carillons, Nathalie Hardoin a exercé bénévolement pendant
plusieurs mois avant de voir son action financée par la fondation APICIL.
Reconnue d’utilité publique, cette fondation participe à la lutte contre la
douleur en encourageant des projets innovants. « La musique apporte de la douceur. C’est bon pour les patients,
mais aussi pour le personnel soignant. Cela modifie l’ambiance et cela apporte
une certaine sérénité. Je pense que c’est tout à fait positif », a reconnu
Nathalie Aulnette, la directrice d’APICIL
Et pour faire vivre ce projet
à Gap, la fondation APICIL a versé 15.000 euros à l’unité de soins palliatifs.
Un service qui s’est également vu attribuer un don important : un piano généreusement offert par l’épouse d’un ancien patient.
« Avoir de la musique à l’hôpital n’est pas quelque chose de
simple à faire parce-que les durées de séjour ne sont pas très longues. Les
patients ne se déplacent pas facilement. Au sein de l’unité de soins
palliatifs, on peut se permettre d’avoir ce genre d’activités parce que les
durées de séjour sont plus longues », a expliqué le directeur du
CHICAS, Richard Dalmasso.
Pas mal, à proposer ailleurs. Bien entendu, faut pas se tromper de musique non plus (ou ne pas se tromper de public). J'ai remarqué que ce qui pouvait me plaire n'était pas forcément du goût de ma mère.
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